Céline voit la vie en bleu à Miami

Céline voit la vie en bleu à Miami

Du marbre bleu et des formes pyramidales, tel est le fruit du design imaginé par l’artiste suisse Valerio Olgiati mandaté par la célèbre marque de luxe Céline pour concevoir l’intérieur de sa boutique à Miami.

Avec deux points de vente à New York et à Beverly Hills, Céline s’installe désormais à Miami, dans le Design District, le magasin étendu sur deux étages rejoint ainsi les autres grands noms de la haute couture déjà présents dans ce quartier très branché de la ville tels que Gucci , Tom Ford et Louis Vuitton.

Pour la réalisation de ce troisième magasin outre-Atlantique, la marque de mode a confié la conception d’un espace pouvant accueillir entièrement ses collections de prêt-à-porter et d’accessoires à Valerio Olgiati.

Le studio de design a ainsi décidé de décorer la façade, les murs et les sols du magasin en marbre brésilien Pinta Verde pour apporter une ambiance originale dans des tons pastels. Un lieu propice à la rêverie et à la légèreté.

Inspirés par la patine bleu-vert unique du matériau, ils ont voulu créer un «lieu où l’on peut imaginer un univers interne».

Les architectes ont décidé de découper des parties du plafond du sous-sol pour y insérer deux volumes pyramidaux permettant d’accéder au rez-de-chaussée de la boutique.

Des dalles épaisses en marbre ont été utilisées comme présentoirs pour les chaussures et les sacs à main.  Les vêtements sont, quant-à eux, suspendus à de simples balustrades en laiton brossé. Des détails de texture supplémentaires sont ajoutés par des tapis et des coussins gris semblables à du suède.

Photographies de Mikael Olsson

 

 Shoreline Hotel Waikiki, un coucher de soleil sans fin

Dites Aloha au Shoreline Hotel Waikiki un nouvel hôtel situé sur l’île hawaïenne d’Oahu. L’établissement conçu par Dan Mazzarini de BHDM Design  se démarque de ses voisins pour son expérience « nature meets neon » avec un design inspiré d’un coucher de soleil sans fin.

Explosion de néons et de nature, cet hôtel de charme de 135 chambres reprend le concept du design local avec des inspirations hawaïennes et le transforme en une interprétation aussi moderne qu’authentique.

A leur arrivée, les clients sont invités à s’enregistrer dans un hall en plein air avant de traverser des couloirs fluorescents et changeants de couleurs ainsi que des cages d’escaliers recouvertes de papier peint aux motifs tropicaux pour rejoindre leur chambre.

Une fois à l’intérieur de leur chambre, les clients sont accueillis avec une carte topographique personnalisée d’Hawaï. Chaque chambre est équipée de mobilier fait sur mesure par BluDot et Missana, de couleurs vives et de formes géométriques rappelant le mouvement de design de Memphis.

Au premier étage, un salon à double hauteur dispose d’un mur en styrène blanc personnalisé et de lumières multicolores, d’une installation suspendue en forme de cage en rotin qui abrite des sculptures en papier représentant des oiseaux natifs d’Hawaï .

La nuit, le salon est éclairé par des néons recréant l’ambiance d’un coucher de soleil rougeoyant.

Lors des baignades dans la piscine logée sur le toit de l’hôtel, une fresque tropicale du paysage d’Hawaï peinte par l’artiste californien DJ Neff prend place comme toile de fond.

Photos par Adam Kane Macchia.

Le Balcon : un espace lounge prêt à s’envoler signé Mathieu Lehanneur

Pour certains, le début des vacances commence à l’atterrissage, pour d’autres il débute dès l’arrivée à l’aéroport au Balcon, le nouvel espace exclusif du salon business d’Air France à l’aéroport Paris-Charles de Gaulle du Terminal 2E. Imaginé par le designer Mathieu Lehanneur, Le Balcon est un endroit de détente à l’écart de l’agitation de l’aéroport. Un répit architectural aux lignes élégantes et sophistiquées tout en légèreté.

« Les balcons représentent l’essence de l’art de vivre à la française, de l’époque des rois à aujourd’hui, de l’opéra à Roland-Garros. », explique Mathieu Lehanneur

La structure incurvée dispose d’un plafond en miroir d’or reflétant le mouvement des voyageurs de passage tandis que les projections de verre offrent un aperçu des avions sur la piste.

« Dès le début, le projet est né autour de l’idée d’alcôves, de créer des loges », explique Mathieu Lehanneur, désireux d’offrir aux voyageurs « des espaces de semi-intimité où des liens se tissent ».

Un bar central est entouré d’une série de banquettes circulaires se déroulant comme un ruban de velours sous un plafond de miroirs dorés. Cernées de bois clair, elles encadrent un espace ovoïde et chargé de références à l’architecture parisienne comme à la carrière du designer. Sur le parquet, un grand écran LED dépeint une image du ciel qui change constamment tout au long de la journée, imitant le ciel extérieur en temps réel. Le Balcon a été conçu de manière à ce que les usagers commencent leur voyage sur une note détendue. Une ambiance apaisante rendue possible grâce à des associations de matériaux tout en harmonie avec notamment le mélange du bois, du marbre, du verre et de la lumière,.

Selon le concepteur du lieu, « Voler consiste à rester immobile dans un monde en mouvement. C’est sentir les villes et les nuages ​​glisser sous ses pieds. Je voulais que cet espace fonctionne de la même manière – au Balcon, on contemple en silence les mouvements incessants du ciel et des gens.« 

Novice Living Quarters : un nouveau dortoir pour les apprentis moines de Buddhanimit Temple en Thaïlande

Novice Living Quarters : un nouveau dortoir pour les apprentis moines de Buddhanimit Temple en Thaïlande

Buddhanimit Temple, situé dans une communauté rurale à Udon Thani, en Thaïlande, est une école boudhiste qui fournit une éducation gratuite aux familles n’ayant pas les moyens de s’offrir une éducation publique. En raison de l’augmentation du nombre d’étudiants inscrits comme moines débutants, un dortoir supplémentaire était nécessaire. Après l’inspection du site, un bâtiment abandonné a été découvert à côté du bâtiment scolaire existant. Les architectes, Skarn Chaiyawat, Rina Shindo et Witee Wisuthumporn, ont alors proposé de rénover ce bâtiment abandonné afin de le transformer en dortoir avec l’ajout d’une nouvelle bibliothèque et d’une salle de bain.

Un programme fournissant non seulement plus d’espace d’étude et de récréation pour les apprentis moines dans le budget spécifié, et permettant également de fusionner et respecter le contexte, la structure et les matériaux existants.

Le dossier initial du projet prévoyait la construction d’un dortoir de deux étages dans le cadre d’un budget de 6 millions de bahts (155 000 €). Après des inspections approfondies du site et des ateliers avec les moines et les novices, les architectes ont proposé un plan économique pour la rénovation d’un bâtiment existant abandonné.

Les architectes ont conservé les poutres et les colonnes en béton armé existantes tout en ajoutant seulement les éléments architecturaux nécessaires pour fournir de nouvelles chambres partagées à une quarantaine de moines débutants. Les chambres sont conçues avec des tuiles translucides installées à des endroits spécifiques pour la lumière naturelle. Ces chambres sont reliées à un grand couloir qui sert d’espace de loisirs commun aux moines novices.

L’une des caractéristiques remarquables du dortoir est constituée par les blocs de ventilation en ciment qui sont conçus de manière à offrir une certaine intimité à la vue du public et à fournir des ouvertures pour la lumière et la ventilation.


Derrière le bâtiment du dortoir se trouve la zone de baignade commune. Le toit du bain communal a été pensé de manière à répartir uniformément la lumière du jour àl’intérieur des bâtiments en alternant des tuiles translucides et solides. Par conséquent, la lumière naturelle et le flux d’air augmentent à des niveaux appropriés, ce qui se traduit par une amélioration globale de l’état hygiénique.


Les architectes ont aussi proposé de construire une bibliothèque plus grande pour le bâtiment scolaire existant. Avec un plancher surélevé et un toit incliné, la conception  passive de cette bibliothèqueaméliore le flux du vent, diminue l’humidité, refroidit la surface du sol et empêche la lumière directe du soleil de surchauffer la pièce et de détériorer les ouvrages.


La collaboration entre tous ces arcteurs a permis à Novice Living Quarters d’offrir une meilleure qualité de vie aux moines novices tout en contribuant à leur propre style de vie.

Photographies de CHAOVARITH POONPHOL

Six géants de l’architecture en compétition pour redessiner la skyline de Melbourne

Six géants de l’architecture en compétition pour redessiner la skyline de Melbourne

Dans le cadre de la refonte de Southbank, six des plus célèbres studios d’architecture au monde ont été sélectionnés pour proposer une vision novatrice de ce quartier de Melbourne : BIG , OMA, UNStudio, MAD Architects, MVRDV et Coop Himmelb(l)au. Avec l’ambition d’être conçu comme «un environnement à la fine pointe de la technologie et à vocation mixte» axé sur l’innovation en architecture et en design, le projet de 2 milliards de dollars sera le plus important projet en une phase de l’histoire de Victoria, en Australie.

Tours en torsion, blocs entrelacés, quartiers empilés … les six projets présélectionnés et révélés lors d’un symposium public  qui s’est déroulé le 27 juillet dernier se positionnent tous sur le site BMW Southbank de 6 000 mètres carrés.

Le projet lauréat s’inscrira comme un mélange de fonctions commerciales, hôtelières, résidentielles, commerciales, culturelles et publiques, qui seront développées par les spécialistes immobiliers de Melbourne. Après avoir été choisies en Avril, les six agence n’ont eu que quelques mois pour développer le concept de ce projet. Les dessins seront exposés au Pavillon Beulah à Melbourne jusqu’au 1er août, avec l’annonce du  gagnant attendu au cours de ce même mois.

« The Lanescraper » de  BIG – Groupe Bjarke Ingels /  Fender Katsalidis Architects

Le « Lanescraper » comporte deux blocs, qui s’emboîtent créant une connexion rigide entre les espaces et formant ainsi une séries de ruelles. Atteignant une hauteur de près de 360 ​​mètres, le projet propose une gamme de commodités résidentielles, commerciales et culturelles, y compris des bureaux, des appartements avec services et une bibliothèque. Un « auditorium concentrique à deux niveaux » est également proposé pour accueillir plus de 3000 personnes, ainsi qu’un « centre d’expérience BMW » occupant quatre niveaux, reliés par un vide central et un ascenseur de voiture.

« The Beulah Propeller City » de Coop Himmelb (l) au  /  Architectus

« The Beulah Propeller City » est une ville verticale de 335 mètres de haut divisée en quatre fonctions: podium public, bureau, hôtel et tour d’appartements. Le programme comprend 18 étages d’espaces commerciaux et publics à usage mixte, y compris des espaces d’exposition, des cinémas et des studios d’enregistrement. Cet hôtel de 15 étages dispose d’une terrasse avec jardin d’hiver, d’une piscine et d’une forêt tropicale humide.

« Urban Tree » par  MAD Architects /  Elenberg Fraser

« Urban Tree » dispose de petits contreforts verts menant à un « village de montagne » comprenant une aire de jeux pour enfants, des œuvres d’art publiques et une fontaine d’eau.  43 étages résidentiels et 24 étages d’hôtels cohabitent dans cette tour de 360 ​​mètres de haut. Le programme comprend également un auditorium de 1 200 places, une salle de concert de 800 places, une bibliothèque, un cinéma et des bureaux. L’originalité du projet réside dans « The Cloud », un espace public d’agrément de 317 mètres de haut dans le ciel, offrant des panoramas à 360 degrés de Melbourne . « The Cloud » change d’aspect en transitions diurnes, illuminées par un spectacle de LED.

« Stack » par  MVRDV /  Woods Bagot

« Stack » est un gratte-ciel de 359 mètres de haut comprenant « des quartiers empilés reliés de bas en haut et vice versa par des ascenseurs, des escaliers et des escaliers mécaniques pour créer une ville verticale interconnectée. » Chacune des barres verticales du système contient une fonction unique. Au centre du bâtiment, une piscine entourée d’un amphithéâtre, de terrasses et d’escaliers, tandis qu’un jardin tropical sur le dessus de l’hôtel offre des vues sur la ville.

OMA  /  Conrad Gargett

Le projet imaginé par OMA et Conrad Gargett met l’accent sur la base du bâtiment, plutôt que sur sa couronne, en s’inspirant des arcades historiques de Melbourne et des marchés voûtés. La base se compose d’une ville verticale à usage mixte, ouverte 24h / 24 et 7j / 7, dominée par des éléments culturels, commerciaux, éducatifs et sociaux, et traversée par de grands escaliers mécaniques et des ruelles. Au-dessus de la ville verticale, le programme comprend des espaces de bureaux commerciaux, un hôtel, des résidences et des équipements de soutien. La fonction résidentielle est située au sommet de la tour, maximisant les vues sur la ville et la lumière du jour.

« Green Spine » par  UNStudio /  Cox Architecture

« Green Spine » se compose de deux tours de verre en torsion. La première tour, destinée à un programme résidentiel et couronnée par un futur jardin botanique accessible au public s’élève à 356 mètres, tandis que la seconde, accueillant un hôtel et des bureaux atteint 252 mètres. Envisagé comme une prolongation conceptuelle du boulevard Southbank, le projet prévoit une liaison piétonnière au niveau de la rue jusqu’à un quartier commercial et de divertissement.

MAD célèbre le relief escarpé et enneigé du nord-est de la Chine avec un centre de conférences à Yabuli

Il y a quelques jours, MAD Architects , a dévoilé les premières images de son nouvel édifice installé dans les montagnes de Yabuli dans le nord – est de la Chine : le centre de conférences du Forum des entrepreneurs chinois.

A travers une structure en forme de tente définie par des lignes douces et inclinées, le projet de MAD , également appelé «Centre de conférences Yabuli», vise à incarner et à mettre en valeur «les ambitions, les idéologies et la pensée critique avancée des membres du CEF».
Avec un paysage montagneux enneigé connu pour son relief accidenté et ses températures glaciales, Yabuli accueille chaque année le sommet du China Entrepreneur Forum (CEF) considéré comme le «Davos d’Asie». L’insertion harmonieuse du bâtiment dans ce paysage de haute altitude incarne l’atmosphère dynamique du nord de la Chine tout en reflétant son environnement montagneux.
Les 16 000m2 organisés sur quatre étages, comprennent un musée, un petit auditorium de 356 places, un auditorium de plus de 1000 places et une série de salles de conférence, de studios et d’expositions.
Le puits de lumière du projet situé sur le sommet du toit à 24m de haut permet à la lumière naturelle d’inonder l’intérieur. Le vitrail de cet élément central sert également de métaphore pour la fonction entrepreneuriale du système, symbolisant les «idées brillantes et les discussions brillantes générées lors des événements qui s’y déroulent».
Tout au long du projet, des fenêtres ont été positionnées pour créer des panoramas ininterrompus du paysage environnant, tandis que des places publiques à l’avant et à l’arrière ouvrent le bâtiment vers son environnement naturel.
Rendus réalisés par MIR

 

L’installation de nituniyo + memosesmas  : une toile éphémère invitant les passants à s’exprimer

L’installation de nituniyo + memosesmas  : une toile éphémère invitant les passants à s’exprimer

Dans le cadre du festival des Fallas de Valence, une équipe formée par les studios espagnols Nituniyo et Memosesmas , a conçu une sculpture servant de toile vierge sur laquelle différents artistes expriment leurs idées, une «falla» avec une forme indéfinie qui cherche à répondre à une réalité changeante.

«Le thème des fallas est généralement déterminé par les événements de l’année écoulée», explique les concepteurs. «Actuellement, les événements semblent se dérouler à un rythme qui rend très difficile l’assimilation et la réflexion sur ce qui se passe. Comment une falla peut-elle refléter ce fait? L’impossibilité d’être le reflet de l’actualité vertigineuse et changeante? Faudrait-il renoncer à la falla pour avoir la forme? Pourrait-il avoir une forme mutable? Nous proposons un falla capable d’adopter différentes formes, une sorte de canevas vierge en trois dimensions qui peut être modifié quotidiennement et être le support du message souhaité à chaque instant. »

La sculpture se caractérise par un panneau géant de forme rectangulaire pourvu de multiples tubes mobiles, permettant ainsi aux artistes et aux visiteurs du festival de créer leurs propres œuvres d’art. L’équipe a invité trois artistes à façonner le travail pendant les jours de l’événement: l’architecte Miguel Arraiz , le designer Carlos Tíscar et l’illustrateur Luis Demano .

Le dernier jour du festival, l’installation est brûlé avec des centaines d’autres monuments de la ville, marquant la nature éphémère de l’œuvre.

Le MAAT de Lisbonne, une architecture au coeur du dialogue

Le MAAT – Museum of Art, Architecture and Technology – de Lisbonne a ré-ouvert ses portes il y a un peu moins de deux ans, à l’automne 2016. La première partie prend place dans une ancienne centrale électrique réhabilitée, alors que la seconde a été conçue par l’architecte Amanda Leveete, de l’agence anglaise AL_A. Ce nouveau bâtiment contemporain dialogue avec l’édifice industriel du Central Tejo.

 

 

Il se trouve à l’ouest de la capitale portugaise, dans le quartier Bélèm. Historiquement, ce quartier est celui d’où partaient les grands explorateurs à la conquête du «nouveau monde ». Se rendre au MAAT, c’est comme prendre la direction d’un monde à explorer, de nouveautés à découvrir.

 

Son intégration urbanistique participe à la création de liens avec le Tage. En effet, une grande esplanade et une succession de marches descendent vers la rivière voisine. De nombreux espaces publics- près de 7 000 m², sont ainsi créés au sein d’un campus dédié à l’art. Une passerelle le relie à la ville, et il est possible de se déplacer dans, sur et sous le bâtiment.

 

 

Par l’architecture qu’elle dessine, l’architecte établie aussi un lien avec la mer et l’eau. La forme organique du bâtiment et les ondulations du toit reprennent le mouvement des vagues et les reflets scintillants de l’eau. Celui ci est accessible et les visiteurs peuvent profiter d’une vue sur la ville. Les espaces d’exposition sont la continuité de l’espace public. Au rez de chaussée, ceux ci dévoilent des œuvres des trois domaines : art, architecture et technologie.

 

Le musée MAAT présentera des œuvres d’artistes et d’architectes contemporains. Un dialogue entre deux domaines artistiques différents mais qui savent communiquer. Cette proposition culturelle prend place au côté du Central Tejo, l’un des plus anciens musées portugais et l’un des plus beaux patrimoines industriels du pays. Le savoir-faire portugais dans l’artisanat et la céramique n’est plus à démontrer. Ainsi, la façade se couvre de tuiles blanches, dont la géométrie complexe crée une façade en mouvement.

 

M artı D Mimarlık et les résidences Asma Bahçeler

M artı D Mimarlık et les résidences Asma Bahçeler

Construit par M arti D Mimarlik, Asma Bahçeler est un complexe résidentiel composé de 92 résidences et qui se situe dans la banlieue d’Izmir, en Turquie. Il allie un cadre de vie collectif tout en offrant le confort d’une résidence privée. 

© ZM Yasa Photography

L’architecture a été pensée pour s’adapter à la topographie du terrain. Ceci  minimise les interventions dans la topographie naturelle tout en créant des résidences possédant de grands jardins qui fusionnent avec la végétation existante. De plus, les intérieurs ne font qu’un avec les espaces extérieurs qui sont accessibles à tous les résidents.

 

© ZM Yasa Photography

 

Cherchant à créer une relation de voisinage intime, les unités résidentielles sont alignées le long d’une allée piétonne donnant vue sur la mer Égée et la ville de Narlibahçe.

WMO