Wakanda, une Métropolis africaine — Art à New York, Vessel à venir et 5Pointz disparus — L’effet Bilbao se mesure à l’architecture — Charleroi sans tours — Le conseiller, l’urbanisme et la page Facebook — Le Sneckdown, ou l’art de l’améneigement — Histoires de PLU — Corbu, obscurci et coulé — Les problèmes d’architecture de Theresa et Angela

Par Olivier Namias

La capitale de Wakanda, inspirée par Zaha Hadid © DR

Un tour à Wakanda

Au centre de l’Afrique, Wakanda, métropole-État, affiche des positions clairement isolationnistes. Oasis de végétation luxuriante au milieu d’un désert, Wakanda tire sa prospérité du Vibranium, métal indestructible apporté par une météorite trouvant des applications infinies dans les technologies de pointe. Dans le domaine, d’ailleurs, Wakanda passe pour avoir 20 à 25 ans d’avance sur le reste du monde, et possède déjà son système de transport par tube sous vide quand celui d’Elon Musk n’en est qu’au stade de prototype. Sa ville principale, Birnin Zana, (la Cité d’Or), est divisée en plusieurs quartiers. Ses souterrains sont occupés par la Cité des morts, une nécropole où sont enterrés les Wakandiens. Côté démocratie, on repassera : comme Monaco, Wakanda est gouverné par une dynastie. Au niveau architecture, « la Cité d’or est hautement développée, avec beaucoup de gratte-ciel. Malgré cela, la ville n’a pas oublié son héritage culturel, et ces édifices modernes côtoient les monuments et les temples présents depuis des siècles. Le style architectural wakandien est largement inspiré du travail de Zaha Hadid, connu pour ses projets fluides et expérimentaux, de même que par l’esthétique métropolitaine d’une large palette de ville africaine contemporaine, comme le Sénégal et le Nigeria ». Pour visiter ce mélange de Lagos et Tokyo, rendez-vous dans les salles obscures projetant Black Panther, et nulle part ailleurs.

Via Overmental

 

« Vessel », oeuvre de Thomas Heatherwick entièrement financée par le promoteur réaménageant le Hudson Yard, un projet immobilier de 45 hectares à Manhattan © Heatherwick

Un vaisseau pour New York

Mieux qu’au cinéma, l’imposant projet de réaménagement de l’Hudson Yard suit son cours. Sur 45 ha de terrains dans l’ancien Hell’s Kitchen, le promoteur privé Stephen Ross (Related Companies) a prévu la construction de 1,7 million de m2 de plancher, avec 4000 logements, hôtels 200 chambres, plus de 100 commerces, le tout bien sûr de très haut luxe. D’après le magazine Fortune, il s’agit là de la plus grande opération de promotion privée de tous les États-Unis depuis la construction du Rockfeller Center. Coté animation, Ross a doté le quartier d’un équipement culturel, The Shed, conçu par Diller+Scofidio, et surtout d’une œuvre publique, le Vessel, une sorte de pomme de pin à 150 millions de dollars dessinée par le Britannique Thomas Heatherwick. Comportant 80 paliers, le Vessel sera ouvert au public en 2019 et ambitionne d’être une sorte de tour Eiffel du XXIe siècle. Ils manquent un bouquet de tulipes de Jeff Koons pour agrémenter cet aménagement urbain, mais cette œuvre majeure est prévue pour Paris, qui ne la cédera jamais à personne.

Via Art Tribune

Détruire les graffitis qui faisaient l’identité de l’immeuble 5Pointz coutera plus de 5 millions d’euros à son propriétaire. ©Ullstein bild via El Pais

Les 5Pointz du graffiti moderne

L’art arrive à l’Hudson Yard et quitte Long Island City, un quartier du Queens où se tenait 5Pointz, un vieil entrepôt recouvert de peintures en spray avec la bénédiction de son propriétaire, Jerry Wolkoff, qui avait laissé les street artists faire de l’immeuble abandonné leur terrain de jeu. Mais tout à une fin, et Wolkoff a fini par détruire le bâtiment pour réaliser un projet immobilier de luxe il y a quatre ans de cela. Les artistes pensaient racheter l’entrepôt, qui, valorisé à 200 millions de dollars, était un peu trop cher pour eux. À la place, ils se sont prévalus d’une loi de 1990 protégeant les artistes visuels de la destruction d’œuvre pour attaquer le propriétaire, qui vient d’être condamné à 6,7 millions de dollars de dédommagement pour la destruction des 36 œuvres du site, nombre que le juge Frederic Block a porté à 45. Block a considéré « que la collection artistique exposée sur les murs était de grande qualité […] « et qu’elle aurait mérité d’être exposée dans des musées prestigieux « sous réserve, bien sûr, que l’on ait pu y transporter les murs. « [Block] a aussi justifié sa décision par le fait que les parois de 5Puntz furent peintes par des artistes arrivant de Londres et que d’autres furent produites de prestigieuses écoles d’art ». On sait enfin à quoi servent les diplômes d’art, et gare aux street artist juste passés par l’école de la rue. Enfin, Block a fait valoir que cette collection avait fait baisser le crime. Pour les artistes concernés, le message est clair « l’art protégé par la loi fédérale doit être préservé et non détruit ». Pour les opérateurs de transports publics et les maîtres d’ouvrages aussi : pas touche au graffiti, même s’il recouvre une rame de métro ou un immeuble en passe d’être démoli. Et quid de celui qui graffite sur l’œuvre d’un autre ?

Via El Pais

Les faits Bilbao

Vessel ou 5Pointz, deux noms pour des objets urbains emblématiques dont bien des villes en quête de notoriété aimeraient se doter pour s’inscrire sur la carte du monde. Mais l’« Effet Bilbao », attractivité qu’elles espèrent obtenir par la construction d’un bâtiment iconique est-il une réalité ou un mythe ? « L’impact de ces projets [emblématiques] sur les petites villes et les villes de taille moyenne ou demeure sous-étudié », explique Alain Thierstein, professeur à l’Université technique de Munich (TUM) qui a conduit une recherche sur le sujet en s’appuyant sur trois exemples : la Kunsthaus de Graz (Peter Cook et Colin Fournier arch.), le Phæno Science Center de Wolfsburg (Zaha Hadid arch.) et le Palais de la culture et des congrès de Lucerne (Jean Nouvel arch.). « Des liens de causalité entre les effets économiques des projets et les évolutions socio-économiques sur le marché du travail ou de l’industrie touristique n’ont pu être identifiés », souligne Nadia Alaily Mattar, chercheuse associée au TUM. Toutes les répercussions économiques ne sont pas immédiatement quantifiables, poursuit la chercheuse « “À Wolfsburg, la réalisation du centre Phæno a influé positivement sur l’estime de soi des politiciens ou des autorités administratives locales ‘. Ces effets induits pourraient aussi avoir un impact positif sur l’économie à long terme ». Dans les trois cas, les chercheurs ont observé une évolution des relations spatiales dans la ville. « Le désir des urbanistes et des politiciens d’augmenter leur visibilité grâce à l’architecture iconique ne doit pas négliger la contribution de l’architecture elle-même. En plus des effets économiques et sociaux-culturel, l’influence de l’architecture iconique sur la ville est aussi spatiale ». En deux mots, c’est d’abord sur le plan architectural que se mesure l’effet Bilbao…

Via phys.org

Les River Towers, un ensemble immobilier qui peine à voir le jour à Charleroi – Piron architectes et ingénieurs + Bogdan & Van Broeck

Recalé

Deux tours sont en projet à Charleroi. La Ville les veut, leur maître d’ouvrage aussi, mais le ministre de l’Économie Wallon vient de recaler une nouvelle fois le projet. L’intégration de 2 500 mètres carrés de commerce au programme justifiait l’intervention du ministère. Pour la plus grande joie du directeur à l’urbanisme pour la Région wallonne, convaincu que le projet de River Tower ne convient pas à la ville : « d’abord pour des raisons d’architecture : je doute que la concentration de 256 logements de faible qualité dans deux tours de 27 étages hautes de près de 100 mètres réponde positivement à la question première de l’attractivité du logement. Ensuite par rapport à la priorisation du développement urbain, c’est dans les deux quartiers de remembrement urbain de la ville basse en pleine mutation – et pas ailleurs — que nous devons concentrer les moyens : celui de Rive Gauche et celui du Left Side Business Park ». Pour le fonctionnaire « c’est un signal clair pour élever la qualité du développement urbain et du logement dans le centre-ville ». Raser le sol et ne pas être vu : c’est peut-être l’effet Charleroi, antonyme de l’effet Bilbao.

Via Le Soir

 

Jérôme Christen (à droite), l’élu qui aime trop Facebook. ©Laurent Gillieron/Keystone via 20 Minutes CH

Vie de cité

Empoignade au conseil municipal de Vevey non à propos bottes d’oignons, mais de réseaux sociaux. Une partie du conseil communal accuse Jérôme Christen, un élu, d’utiliser le fil Facebook des services de l’urbanisme pour faire sa publicité, et prendre parti contre un projet en cours. « Mais entre les pages personnelles de Jérôme Christen, celle de son service et celle de la Ville, certains jugent difficile de distinguer ce qui ressort du privé et de l’institutionnel. « Elles sont pourtant bien différentes « commente l’élu. Elles ont surtout beaucoup de succès. « Construire Vevey, avec vous et pour vous « compte par exemple 6700 abonnés, soit exactement autant que le compte officiel de la Ville. « Ce sont toujours les mêmes détracteurs qui se plaignent de ce lien que j’entretiens avec de nombreux habitants. Mes publications démontrent que je distingue bien mon rôle de municipal, de député, et de citoyen “assure-t-il ». Le fait que les contenus soient sponsorisés par l’élu ajoute au malaise. Nonobstant, rappelle 20 minutes, ‘L’hyperprésence sur Facebook, pourtant, n’est pas forcément un gage de succès électoral. Son collègue de parti Michel Agnant a aussi été élu à l’exécutif alors qu’il n’a ni compte Facebook ni téléphone portable’. La vie municipale, c’est ‘compliqué’ comme on dit sur… Facebook.

Via 20 minutes Suisse

Sneckdown, ou quand les traces révèlent l’occupation de l’espace

Sneckdowns ou l’améneigement urbain

Les traces laissées par les automobiles sur les sols enneigés de l’Ile-de-France ont mis en lumière le phénomène du Sneckdown. Traduit par ‘améneigement’, ce néologisme formé des mots anglais pour enneigé (snowy) et saillie de trottoir (neckdowns) ‘correspond à l’étendue révélée par l’enneigement, qui permet d’observer l’espace véritable qu’occupent les piétons’. La technique venue d’Amérique du Nord ‘met en lumière, de manière évidente, une mauvaise gestion de l’espace. Trottoirs trop étroits, rétrécissements de la chaussée et îlots de neige esseulés sont ainsi exposés. De fait, de nombreux appels ont été lancés aux urbanistes, en charge de l’aménagement des rues. À l’hiver 2014 déjà, L’Obs, les invitait à jeter leurs ordis et observer la neige’. Le sneckdown peut-il aider à repenser l’espace public en France ? ‘Interrogé par Les Inrocks, Jean-Jacques Terrin, architecte-urbaniste, professeur émérite à l’école d’architecture de Versailles, explique : ‘Nous n’avons pas besoin de la neige pour savoir que les voitures prennent beaucoup de place, et que les piétons sont des parties congrues en ville. L’utilité des sneckdown, en France, est relative, notamment dans une ville comme Paris où il neige tous les 5 ans ‘.’ À Paris, oui, mais ailleurs ? ‘Pour imaginer le schéma de mobilité adapté à Krasnogvardeyski, une banlieue de Saint-Pétersbourg forte de 300 000 habitants, le climat facilite l’observation des usages : ‘‘Comme autrefois dans nos régions, les empreintes de pas dans la neige donnent une vision exacte des cheminements les plus pratiqués ‘’ témoigne l’urbaniste Alfred Peter. Le ‘chemin de neige’, expression plus élégante pour désigner ce que Le Corbusier appelait ‘le chemin des ânes’.

Via Les Inrocks et Le Moniteur

Daniel Cimerelli, maire de Rédange (57), n’a plus de PLU © le républicain lorrain

Quand il n’y en a PLU…

Rédange, commune mosellane de 1000 habitants, n’a plus de PLU. Un entrepreneur a réussi à le casser pour retirer le classement en ZNIEF (zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique) des 500 hectares de mines à ciel ouvert qu’il comptait transformer en centre d’enfouissement des déchets inertes. Daniel Cimarelli, maire de Rédange, s’alarme. En absence de PLU, ne risque-t-on pas de voir la commune se couvrir de construction anarchique «  Ses craintes se portent sur les nouveaux quartiers, comme Nouvelle Cité. Ici, rien n’empêche un propriétaire de modifier sa maison, d’y accoler une tour, ou de construire une annexe dans le jardin, excepté un refus de permis de construire’. Heureusement, le RNU (règlement d’urbanisme national) va prendre le relais, protégeant la commune d’une urbanisation anarchique. À Thenay, dans le Loir-et-Cher, le maire Daniel Roinsolle peste contre le PLUi. A-t-on encore le droit d’habiter à la campagne ? — la commune, ‘qui compte 900 habitants, espérait parvenir à mille, de quoi assurer le maintien de ses nombreux commerces et services, dont l’école. Son dernier lotissement de dix-sept parcelles, à peine viabilisé, est déjà vendu aux trois quarts. La commune a réalisé une station de traitement écologique des eaux usées, fonctionnant sans énergie et calibrée pour 1.100 habitants. ‘On veut notre mort ‘soupire le maire. ‘Après avoir décentralisé, l’État reprend les commandes dans tous les domaines ‘’. Le PLUi limite le nombre d’habitant, mais, encore plus inadmissible pour le maire, insère des secteurs NGV et AGV, soit ‘Zone naturelle gens du voyage’ et ‘Zone agricole gens du voyage’ que les élus disent découvrir lors de la finalisation de ces documents d’urbanisme. Une chose est sûre : l’intercommunalité ne risque pas d’être classée ZAO (Zone accueillante de ouf), même à l’insu des élus.

Via Le Républicain Lorrain et La Nouvelle République

La mue du refuge d’Ortu di Piobbu attendra la révision du PLU © M-S.A-V. via Corse Matin

 

… Il y en a encore

Rien n’est simple en matière de PLU. En Charente, la mise au point de ce document révèle des villages sclérosés par les vignobles. ‘Les vignes ne se remplacent pas facilement, elles sont plantées pour plusieurs décennies, contrairement aux régions céréalières qui se renouvellent chaque année. L’arrivée massive de nouvelles vignes, liées aux droits de plantation accordés aux viticulteurs, n’arrange rien. Résultat : pas de terrains constructibles pour accueillir de nouvelles familles et leurs enfants qui seront scolarisés, et donc un problème d’effectifs dans les écoles rurales’. En Corse, le PLU bloque l’extension du refuge d’Ortu di Piobbu, sur le GR20. ‘Sur ce site, le PLU précise qu’une extension ne peut excéder 30 % de la surface existante. Le projet prévoyant un nouveau refuge couvrant près de 300 m2, la commune de Calenzana a donné un avis défavorable, au début de l’année, au certificat d’urbanisme déposé par le Parc naturel régional de Corse’. L’issue est dans le dialogue ‘la planche de salut va peut-être venir de la concertation qui s’engage entre le Parc, la commune de Calenzana, son intercommunalité et les services préfectoraux, dans le contexte plutôt favorable de la révision du plan local d’urbanisme de Calenzana’. Est-ce à dire que sans le PLU, tous ces gens ne se parleraient plus ?

Via France Bleu et Corse Matin

La Villa le Lac, œuvre de Le Corbusier inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, outrageusement défigurée par un lampadaire illégalement installé. L’objet du délit a été démonté fin janvier. © 24 Heures CH

Corbu : obscurci à Corseaux…

Planté devant la Villa Le Lac, que Le Corbusier avait construit au bord du Léman pour sa chère maman, ce candélabre n’était pas à sa place ‘ni les services techniques de Corseaux ni ses autorités politiques n’avaient remarqué que cet éclairage est illégal. Monument historique national et bien d’importance internationale, la Villa Le Lac est en effet protégée en elle-même, mais aussi son environnement direct (y compris les végétaux du jardin)’. Le lampadaire portant atteinte à l’intégrité du monument, inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, devait être déplacé, mais restait insolemment en place pour d’obscures raisons juridico-administratives. ‘Franck Rolland, ingénieur spécialisé de la sécurité routière à la Direction générale de la mobilité et des routes, indiquait que l’éclairage est du ressort de la Commune, même sur une route cantonale. ‘Il n’y a pas d’obligation – hormis des cas spécifiques comme des passages piétons ou des giratoires en localité –, mais lorsque la Commune décide d’éclairer, alors elle doit le faire selon les règles de l’art ‘.’ C’est finalement la tenue de l’assemblée générale annuelle de l’Association des sites Le Corbusier qui a coûté sa place au lampadaire ‘Une cinquantaine de spécialistes, essentiellement de France, mais également du Japon, sont attendus. Il fallait donc éviter à tout prix que tous ces défenseurs de l’œuvre du grand architecte ne découvrent le couac de Corseaux : un lampadaire installé pile devant la Villa Le Lac, pourtant Patrimoine mondial de l’UNESCO. Cette verrue sera donc démontée ce mardi ou ce mercredi’. Envoyer un comité UNESCO pour venir à bout d’une verrue stradale : une astuce dermatologique que l’on ne connaissait pas encore.

Via 24 heures Suisse

La péniche Louise-Catherine avant son naufrage © Pierre Verdy AFP via FranceInfo TV

… coulé à Paris

Elle s’appelait Louise-Catherine, et repose désormais au fond de la Seine. Plus connue sous le nom de ‘Péniche de l’Armée du Salut’, cette barge en ciment armé de 70 mètres conçu pour le transport du charbon avait été transformée par Le Corbusier en logement pour sans-abri, ce qui lui avait valu le statut de monument historique. C’est lors de la remise à l’eau du navire, qui s’était déplacé avec la crue de la Seine, qu’est apparu le trou dans la coque causant le naufrage. Depuis longtemps désaffectée, la barge allait être transformée en lieu culturel, explique sa propriétaire, Alice Kertekian. ‘Le but est de la sauver, il existe des techniques pour la sortir de l’eau. Mais tant qu’il y a la crue, les plongeurs ne peuvent aller explorer et voir l’ampleur exacte de l’avarie’, a déclaré Kertekian ». Nous allons créer un compte sur KissKissBankBank pour trouver de l’argent et payer la grue pour la sortir de là’ a expliqué un autre propriétaire au Parisien ». Pour ne pas dire Bye Bye à cette œuvre négligée du Corbu, il fallait bien un Kisskissbankbank

Via Le Figaro

Theresa May, premier ministre du Royaume-Uni, n’aurait pas selon certains blogger l’architecture intellectuel qui sied à un bon Brexit. ©DR

L’architecture par Theresa et Angela

On ne sait pas ce que Theresa May pense de l’architecture, mais le blogger du labour Peter Edwards pense qu’elle n’a pas ‘l’architecture intellectuelle’ pour conduire le pays à un Brexit avantageux. Quant à Angela Merkel, elle ferait mieux de passer chez son maître d’œuvre, car l’architecture constitutionnelle de la République fédérale rend le pays fragile… Vous étiez bien dans notre rubrique ‘architecture partout, bâtiment nulle part’.

Via Talk Radio et Settimana News